Voyager entre deux trous de mémoire

Tout commence ce lundi d’août 2021, soir je n’avais plus la « muni »… enfin du temps pour soi… Mais que font tous les politiciens qui prennent leur retraite?… ils écrivent leurs mémoires! Si j’ai un seul talent c’est bien celui d’oublier. L’oubli très utile pour l’imagination (comme le disait Graham Green – Tout ce que j’oublie devient le terreau de ma propre imagination) mais plutôt un handicap quand il s’agit d’écrire une autobiographie!?!

Ma chance est que les souvenirs remontent à la surface quand je regarde mes anciennes sculptures. Un problème, j’ai vendu toutes celles d’avant 2005. Pas de soucis, je vais les peindre – Peindre c’est pour moi comme une méditation qui me met en relation avec le sujet, et pour le cas présent fait revenir le passé. 

Donc c’est parti je vais écrire mes mémoires en quelques récits de  « Voyages entre deux trous de mémoire ».

… première étape peindre:

Article de Dany SchaerL’Echo du Gros-de-Vaud, 27 août 2021

… puis sculpter:

L’inspiration c’est peut-être oser  lâcher prise. Se laisser tomber dans se trou sans fond, comme le seau que l’on jette dans le puit. Puis la corde qui remonte… l’imagination.

Voyager entre deux trous de mémoire

Monologue « sculptorico-scénique »

Le projet commencera par une exposition “Les dix petites boîtes”… dans une galerie ou sur une scène, accompagnée d’une mise en scène et d’une musique improvisée au piano par … Blaise Mettraux

… des boîtes sortiront des histoires improvisées puis écrites, ou/et l’inverse*. Les boîtes et les mots qui les accompagnent sont en cours d’élaboration.
* Un soir, après une représentation du « Pied d’Estale », Cathy qui nous avait mis en scènes les années précédentes, m’a dit, en parlant du monologue d’introduction à moitié improvisé (je l’avais complétement réécrit la nuit précédente) que j’étais bien meilleur à l’improvisation que dans un rôle à suivre un texte!?!
– Il est vrai que je me sens beaucoup plus à l’aise sur scène quand je peux dévier du texte, sortir de la case, en me laissant influencer par l’humeur du publique.

« CAMINO », chemin entre les sculptures « numéro 1 » et « Rio », acrylique, cendres et ocres sur prunier

En peignant ce regard de dieu maya , d’une de mes sculptures combinant ambre avec un galet de granit du « Río Cuilco » à la frontière entre le Guatemala et le Mexique, les souvenirs se bousculent…

Ce matin nous étions parti tôt depuis l’atelier de Kees, pour aller à la « pêche aux pierres ». Les habitants du coin, que nous avions engagés pour nous aider à transporter vers le pickup les pierres que nous choisissions patiemment dans le lit de cette rivière, avaient dû nous prendre pour des fous: – ¿Porqué cargar esas piedras cientos de metros cuando hay miles justo al lado de la carretera? 

En fin d’après-midi nous nous décidions à remonter dans la vielle Dodge , le chemin de retour vers San Cristóbal de las Casas était encore long. La route sinueuse qui nous éloignait de la frontière du Guatemala longeait encore la rivière sur quelques kilomètres. Un dernier regard sur les berges; « Regardes là!… un dernier caillou?… Un autre regard dans le rétroviseur répondit pour nous: la gondole était plus que pleine de ces galets de granit et de grès, gris, rose ou vert , usés, polis, arrondis par la rage des eaux de la Sierra Madre. La taille des plus gros était du maximum de ce qu’avaient pu supporter les épaules de nos, braves mais ronchons, aides du jour. Donc plus d’arrêt avant le « Valle de Jovel »! Eh non! Après avoir passer le premier virage nous fûmes forcé de nous arrêter à un barrage de l’armée. 

«¡Bajan de la caminoneta! » Nous obtempérons pour laisser les soldats fouiller le véhicule. Après un regard à l’arrière leur chef nous demande « ¿ Que transportan aquí? » Après lui avoir expliqué que nous venions juste de prendre ces pierres dans la rivière et que nous les transportions vers notre atelier de sculpture, il nous ordonna calmement « ¡Ábrenos esas piedras! Para que podamos ver lo que hay a dentro! » 

Je jetais un regard vers Kees qui avait l’air aussi perplexe que moi.   Ce gradé de l’armée mexicaine venait de nous demander d’ouvrir des boulets de granit massif pour pouvoir «voir ce qu’il y avait à l’intérieur! » Comment sortir de là et expliquer à ce militaire, qui manifestement ne cherchait pas la même chose que nous, que nous avions belle et bien choisi ces pierres pour ce qu’elles « avaient à l’intérieur » mais que nous ne pourrions pas lui les ouvrir!?!

Mes voyages on toujours été des fuîtes avant de devenir de rencontre.

«Caminante, no hay camino, se hace camino al andar» Antonio Machado

« Quand la lumière du soleil traverse la pierre il faut arrêter de creuser!

Prologue

sculpture numéro 1, cuivre 17/24/40 mm

Cette été 2021 Marina m’a rapporté depuis le Mexique la « Sculpture numéro 1 », taillée un dans un petit bloc de cuivre; ils l’avaient retrouvée en rangeant un recoins de la maison qui fut un temps mon atelier de taille d’ambre. – 50 grammes de cuivre qui me remettaient sur les pas perdus du chemin qui va des Alpes suisses à la Sierra Madré, jusqu’à cette rivière à la frontière entre le Guatemala et le Mexique.

Ce Chemin vers cette rivière du Chiapas, à la « pêche aux pierres » avec mon grand ami Kees, un peintre, sculpteur et architecte comme moi, est truffé, non pas de nids de poule mais de trous de mémoire. 

Car si j’ai un seul talent c’est bien celui d’oublier. L’oubli très utile pour l’imagination , comme le disait Graham Green « Tout ce que j’oublie devient le terreau de ma propre imagination », mais plutôt un handicap quand il s’agit d’écrire un récit de voyage autobiographique.

La mémoire est une matière bien étrange, tout sauf claire et monolithique . A l’instar de la perception visuelle, elle aussi doit construire une cohérence et parfois compléter ou inventer une vérité. « La vie n’est pas celle que l’on a vécu, mais bien celle dont on se souvient et comment on s’en souvient pour la raconter. » Gabriel García Márquez.

Un exemple de cette “mémoire construite” m’est revenu avec cette première sculpture. En 1983 j’avais présenté une réplique en bois de la « sculpture numéro 1 » à un concours d’apprenti en catégorie art plastique. Pendant de nombreuses années j’ai écrit sur mon curriculum avoir obtenu le deuxième prix de cette catégorie. Il y’a quelques années en fouillant dans mes paperasses je me rendis compte que j’avais obtenu , non le deuxième mais le premier prix! Pourquoi c’était gravé dans ma mémoire une deuxième place?

  • Aujourd’hui, en faisant jouer la statuette de cuivre entre mes doigts… me revient en mémoire le jour de la remise des prix.

Nous avions fait le voyage jusqu’à Saint-Ursanne pour assister à la partie officielle et à la remise des prix du « Salon romand de jeunes talents ». Cette année là c’était au Jura, nouveau canton et République fraîchement validé par les urnes quelques 5 ans auparavant, d’organiser l’événement. Comme mes parents avaient mal jugé de la distance et du temps de trajet, Google n’existait pas en 1982, nous sommes arrivés dans cette bourgade médiévale des bords du Doubs bien après le début des discours de nos fiers politiciens jurassiens! Donc il ne restait que quelques places au fond de la salle des fêtes. Malgré le retard nous fûmes gratifiés  de longues minutes d’auto congratulations politiciennes. Et quand enfin le tour était venu d’annoncer les vainqueurs du concours, je devais être à moitié endormi! Il me fallu un certain laps de temps pour réaliser que c’était mon nom que l’on avait annoncé après «  premier prix catégorie artistique ». La surprise passée , je me frayais un chemin jusqu’à l’allée. Je descendis quatre à quatre les marches … mais arrivé vers la scène ils avaient déjà annoncé le deuxième prix, pour mon malheur Un Jurassien! Lui il était bien organisé et prêt au premier rang! Il avait déjà touché la main du politicien, Jurassien et était sous les feux du photographe  du quotidien local, également bien Jurassien, quand je pu enfin atteindre l’estrade. Une dame gênée me demanda  qui j’étais. Mon nom ne la faisant pas réagir, je lui dis qu’apparemment c’était moi qui avais gagné le premier prix; après un « ah, oui! »  toujours aussi gêné, elle me tendit mon diplôme avec un « toutes mes félicitations » forcé , puis se retourna vers la gloire locale. Ma carrière d’éternel étranger avait commencé là!

De ce non-évènement ma mémoire a gravé “deuxième sur scène” pour arriver à la certitude de “deuxième prix catégorie Art plastique”. Construction cohérente, non?!

La sculpture Río a été, elle, un vrai « deuxième prix, catégorie artistique », au Mexique cette fois ci. Mais n’anticipons pas, il me reste quelques histoires à vous raconter au long du trajet qui mène à ce « deuxième non-évènement ».

Le départ, ou l’apprenti voyageur. 

Au bas de l’estrade je suis resté planté là un bon moment avec dans les mains mon « diplôme de jeunes talent ». Je voulais leur crier – Eh! Le premier prix c’est moi! Mais je m’étais assez ridiculisé comme ça et j’ai tourné les talons. Première fuite… et pas ridicule pour la dernière fois.  

Tout le monde vous le dira le ridicule ne tue pas, j’en suis la preuve vivante en vous racontant mes pérégrinations, mais ne pas vouloir le paraître peut être fatal, comme dans cette rivière australienne… Mais là je vais trop vite ! 

Pour mon premier voyage d’apprenti globe-trotter  j’ai choisis plus proche…

à suivre…..

Mais pour ”écrire” ces histoires il faut d’abord les faire remonter du fond de ce puits de l’oubli … donc pour “remémorer” je dois peindre, sculpter, écrire…

La suite de cette page vous en montrera quelques « avant-goût » et sera mise à jour régulièrement:

AMBAR NEGRO

Planche: acrylique cendre et ocres sur érable calciné. Boîte: pierre de moraine érable calciné et patiné, 47 / 145 / 58 cm.

Cette sculpture est la première Boîte de la série « 10 petites Boîtes »

Ces Boîtes sont principalement réalisées dans un même tronc d’érable sycomore sur un même concept (voir photo maquette):

  • au centre du tronc sont coupées des planches, comme des feuilles volantes arrachées d’un livre, et les boîtes sont sculptées dans les dosses.  Sur les feuilles le pinceau et les pigments partent à la recherche de la mémoire, cette chimère qu’est l’inspiration,  et les boîtes l’enfermeront, la protégeront jusqu’à ce que je les ouvre sur scène.

La réalisation de la boîte d’AMBAR NEGRO a commencé en 2021 puis elle est restée dans le jardin de mon atelier, à tous les temps, pendant 2 ans pour prendre la patine du temps; les retouches et son équilibrage ont été réalisés en 2023.

Lors de l’exposition/performance les sculptures seront déployées en contant leur histoire. (Improvisation, à l’écoute du public, sur une base de texte écrit)

…l’histoire de cette pépite de 200 grammes d’ambre noir du Chiapas et gravée dans ma mémoire mais pas encore couchée sur papier… elle sortira de sa boîte lors de la première représentation!

MANDORLE

Marbre Cristalina érable calciné et bois d’if, dimensions variables

Le départ de cette installation est le « recyclage » d’une sculpture d’étude (marbre Cristalina, 1995) réalisée au retour d’un voyage en Inde; elle fait revenir à la surface* l’histoire d’une rencontre avec un sculpteur… du XIIème siècle!  Cette histoire commence dans une station de bus régionaux de Mysore où j’ai appris ce que ressent une personne illettrée pour trouver son chemin : sur tous les  bus un alphabet  inconnu !

TROU DE MÉMOIRE 

ambre, cuivre, érable et if, h 40/l 43/prof 40 CM.

Sculpture  faisant partie du projet “voyager entre deux trous de mémoire” (peintures, sculptures, textes): des mots, une narration, pour relater les voyages, les rencontres; le concret, le conscient… et les trous de mémoire pour exprimer l’inconscient.

La mémoire est une matière bien étrange, tout sauf claire et monolithique. A l’instar de la perception visuelle, elle aussi doit construire une cohérence et parfois compléter ou inventer une vérité. « La vie n’est pas celle que l’on a vécu, mais bien celle dont on se souvient et comment on s’en souvient pour la raconter. » Gabriel García Márquez.

RACINES

Cette boîte s’ouvre sur la sculpture « Début du voyage » [… le train-train s’installait, le travail de bureau, la routine facile… une année, puis deux, puis… Il me fallait réagir !  Je ressortis un projet de mes tiroirs pour demander à un marbrier, chez qui j’avais pu apprendre la taille du marbre, de me trouver un bloc de marbre d’environ 1,5 par 1,5 de base et 2 mètres de haut. Deux semaines plus tard il m’appela « Je suis à Carrare, j’ai trouvé le bloc parfait pour ton projet. CD gris-bleu, un bloc de 190 par 240 de section. On te coupe une tranche de 1 m 90. C’est bien ça les proportions ? » Il ne me laissa pas le temps de compter et reprit « Alors on achète ?  Je dois rendre une réponse rapide, je pars dans une heure ! » Sans prendre le temps de réfléchir je rétorquais « OK on achète ! » Sans me donner plus de temps de réflexion il poursuivit avant de raccrocher « Alors c’est une affaire qui roule. Le bloc arrive chez toi dans 15 jours. » – Je n’avais ni le lieu pour réaliser la sculpture ni l’argent pour payer le marbre le transport et le déchargement !?!

Un matin, deux semaines plus tard, nous attendions le camion. Un voisin me prêtait un bout de son champs : « Si les vaches ont un petit peu moins d’herbe à brouter c’est pas grave. Je te demande juste de remettre tout en ordre quand la statue partira ! » Il ne s’attendait pas aux 5 ans qu’il me faudrait pour terminer et 5 autres années pour trouver un acheteur… ] suite de l’histoire sur la page Sculpture monumentale RACINE, Yverdon-Les-Bains.

TERRES ROUGES

Acrylique terres et cendre sur érable calciné et bois d’if.       Dimensions variables

… qui de l’œil ou de la main dirige cette quête vers ce passé qui s’estompe, cette mémoire qui revient et qui m’échappe…

… vers ces TERRES ROUGES qui m’ont tant inspiré, plus que leurs habitants*

* Non les Aborigènes qui disent que la terre ne leur appartient pas mais qu’ils appartiennent à la terre, donc je les y inclus, mais les Australien qui a en vouloir être rapidement sympathique, easygoing, me sont restés distants.

Cette installation est toujours en cours de réalisation, comme toutes les autres de ce projet de « Voyage entre deux… », donc ne faites pas trop cas aux dates de réalisation… rien n’est terminé… je cherche toujours dans les replis de ma mémoire, de mon imagination, une explication à cette chimère… l’Inspiration.

Et si tout reste en suspens, que les questions survolent, je vous raconterai peut-être un jour leurs histoires sur une scène.

BRITISH PEDESTAL (un socle britannique)

Ci-dessous le lien sur le chapitre 3 British Pedestal (un socle britannique)… d’un cheval qui tirait le chariot de la Lune derrière l’horizon…

Il relate le cheminement d’une installation, réalisée de 1992 à 2023, qui pourrait bien être la métaphore de mon état d’esprit actuel.

Reconstruire ou rééquilibrer ?

Voyager entre deux trous de mémoire EXTRAIT BRITISH PEDESTAL

Un jour j’ai commencé à sculpter parce qu’incapable d’extérioriser mes sentiments avec des mots,

plus tard j’ai commencé à peindre mais je n’étais pas peintre, seulement un sculpteur qui peignais… l’illusion des formes et des couleurs.

Maintenant quand j’écris je ne suis pas écrivain mais peintre, je ne fais que décrire ce que je vois, ce que j’ai vu, pour susciter des émotions… que je suis toujours incapable d’exprimer directement avec ces mots.  

Premier coffret* terminé… *pour les 10 premiers exemplaires numérotés

chapitre 7. Népal… juste sous le toit du monde:

Mais comment voulez-vous travailler quand Monsieur a décidé de ce coucher et dormir sur ma “Map for extreme and soft trekking ANNAPURNA”!?!

Donc je par vers l’atelier de peinture pour réaliser quelques illustrations:

Je m’envole vers…

EXTRAIT DU CHAPITRE 8 (projet pour la VILLA DUBOCHET 19):

[…] les souvenirs relatés par [ l’ancien propriétaire de la villa Dubochet n° 19 à Clarens]. Puis j’écoutais les péripéties des travaux et projets, réalisés, ou non, comme cette idée d’ajouter une deuxième tour à ce « petit château » de style éclectique… …tour dont l’ascension c’était arrêtée au niveau de rez-de-chaussée. J’aimais bien cette forme arrondie qui ne resterait, heureusement pour l’harmonie du pavillon 19, que la fondation d’une utopie ! J’invoquais le refus du premier projet d’extension par le SIPAL (acronyme d’alors de l’organe de l’état de Vaud en charge de la préservation de monuments historique, la maison étant considérée d’importance régionale) pour faire passer mon idée de conserver ce mur, bien que je proposais de supprimer tous les autres « ajouts » de béton et reconstruire les élégantes structures en bois (dont nous avions tous les plans jusqu’à leurs projets de polychromie !) pour revenir à l’équilibre voulu par l’architecte Emile Hochereau (1828-1905)… et tout ceci merci au plans et détails (minute de Paris et minute de chantier) qui venaient de m’être « offerts » !

Malheureusement l’aventure c’était, pour moi, arrêtée quelques mois plus tard !, au stade du projet et des premiers plans et détails d’exécution, la faute à mon caractère… disons !, entier. Je n’avais pas pour coutume de me taire et avais la mauvaise habitude de dire aux gens ce que je pensais d’eux. De plus on avait voulu m’imposer une architecte d’intérieur genevoise : à sa première visite sur le chantier […], elle était arrivée… en talons aiguille ! Quand je lui faisais remarquer que ses chaussures n’étaient franchement pas adaptées à une visite de chantier et qu’elle devrait les ôter pour continuer la visite au deuxième étage, dans le but de préserver les parquets d’origine, en sapin et frises de chêne, et continuer… en chaussette ! Elle me rétorqua, du tac au tac, que selon sa première analyse les seuls parquets d’origine, qui valait la peine d’être conserver, était ceux du séjour et du bureau au rez (dans le bureau ? le sol de l’extension à côté de la « nouvelle tour » !?, avait déjà été partiellement arraché, Oups !). Je ne lui fis pas l’offense de lui dire où [le père de] monsieur P. les avaient récupérer et surtout quand il les avait lui-même posés !!! [pas loin d’un siècle après la construction de 1874] Je n’avais définitivement pas les mêmes valeurs, ni d’atomes crochus avec cette « ensemblière », comme aimait à la nommer mon patron d’alors. Je ne pouvais irrémédiablement pas collaborer avec elle, ou pire, comme elle voulut l’insinuer, être sous ses ordres… […]

Suivez le projet sur cette page de mon blog , F. Burkha, mis à jour 05.02.2024

préparation des illustrations à l’aquarelle…
ouvrir le livre…